Elle s'appelait Sarah, de Tatiana de Rosnay


Paris 2002. Julia Jarmond, journaliste américaine, est chargée de couvrir la commémoration du Vél d'Hiv. Découvrant avec horreur le calvaire de ces familles juives qui furent déportées à Auschwitz, elle s'attache en particulier au destin de Sarah et mène l'enquête jusqu'au bout, au péril de ce qu'elle a de plus cher.

Paris 16 juillet 1942. À l'aube, la police française fait irruption dans un appartement du Marais. Paniqué, le petit Michel se cache dans un placard. Pour le protéger, sa grande soeur l'enferme et emporte la clef, en lui promettant de revenir. Mais elle fait partie des quatre mille enfants raflés ce jour-là...

  • Éditeur ‏ : ‎ Héloïse d'Ormesson (2012)
  • Broché ‏ : ‎ 356 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2350871967
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2350871967

Mon avis : 

Deux histoires différentes, deux époques retracées en un seul livre. Une époque dure pour la France celle de la déportation et ce que celà a apporté aux milliers de personnes déportés, la perte de leur famille, de leur appartement.

Deux familles qui se rejoignent dans la vie actuelle, mais qui par un acte anodin, se retrouve en lien avec celle du passé, un drame resté caché. Un secret qui ne devait pas être dévoilé. Mais une histoire qui marquera à jamais les membres des deux familles.

Le film m’a plus touché que le livre, surtout la fin, la scène du placard.

Bande-annonce

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